Encontrados 4235 resultados para: peur de Dieu

  • Alors Yahvé Dieu forma du sol toutes les bêtes sauvages et tous les oiseaux du ciel; il les conduisit vers l'homme pour voir quel nom il leur donnerait, pour que tout animal porte le nom que l'homme allait lui donner. (Genèse 2, 19)

  • Yahvé Dieu fit alors tomber sur l'homme un profond sommeil pour qu'il s'endorme, il prit une de ses côtes et referma la chair à sa place. (Genèse 2, 21)

  • Avec la côte qu'il avait prise à l'homme, Yahvé Dieu fit une femme, et il vint la présenter à l'homme. (Genèse 2, 22)

  • Le serpent était le plus rusé de toutes les bêtes sauvages que Yahvé Dieu avait faites. Il dit à la femme: "Vraiment! Dieu a dit: Vous ne mangerez d'aucun des arbres du jardin?" (Genèse 3, 1)

  • Mais pour le fruit de l'arbre qui est au milieu du jardin, Dieu a dit: Vous n'en mangerez pas, vous n'y toucherez pas, sinon vous allez mourir." (Genèse 3, 3)

  • Mais Dieu sait que le jour où vous en mangerez, vos yeux s'ouvriront et vous serez alors comme des dieux, vous connaîtrez le bien et le mal!" (Genèse 3, 5)

  • Soudain ils entendirent les pas de Yahvé Dieu qui se promenait dans le jardin à la brise du soir. L'homme et sa femme se cachèrent de Yahvé Dieu parmi les arbres du jardin. (Genèse 3, 8)

  • Yahvé Dieu appela l'homme et lui dit: "Où es-tu?" (Genèse 3, 9)

  • Il répondit: "J'ai entendu tes pas dans le jardin et j'ai eu peur, parce que je suis nu; c'est pourquoi je me suis caché." (Genèse 3, 10)

  • Yahvé Dieu dit à la femme: "Qu'as-tu fait là?" La femme répondit: "Le serpent m'a trompée et j'ai mangé." (Genèse 3, 13)

  • Alors Yahvé Dieu dit au serpent: "Puisque tu as fait cela, tu seras maudit parmi tous les animaux des champs et toutes les bêtes sauvages. Tu ramperas sur ton ventre et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie. (Genèse 3, 14)

  • Puis Yahvé Dieu habilla l'homme et la femme avec les tuniques de peau qu'il leur avait faites. (Genèse 3, 21)


“É doce o viver e o penar para trazer benefícios aos irmãos e para tantas almas que, vertiginosamente, desejam se justificar no mal, a despeito do Bem Supremo.” São Padre Pio de Pietrelcina